07 août 2007

Prise de conscience

J'ai eu le désir au fond de moi, si fort que c'en était douloureux. Le désir de porter la vie pour la première fois. De ce désir est finalement née O, ma première princesse, ma petite sirène. Petite, sans défense, elle ne reposait que sur moi et son père pour s'épanouir. Du moins c'est ce que nous pensions. Mais non, cette petite puce avait déjà sa personnalité, sa manière à elle de voir la vie. Et voilà que ce petit poupon est devenue une belle grande fille, pleine de vie. C'est le trésor de mon coeur.

Vivre sans elle à mes côtés 24h sur 24 c'est très difficile. J'imagine que c'est à moi maintenant de faire le plus grand des apprentissages: savoir faire confiance, savoir laisser aller.

Cette belle petite princesse entrera à l'école pour la maternelle. Bien qu'au début j'étais fébrile pour elle; j'ai tellement aimé l'école moi-même, maintenant je suis une boule d'angoisse. J'ai peur, peur pour elle, peur de la perdre, peur de ne plus savoir ce qui se passe chaque seconde de sa vie. Mais n'est-ce pas aussi cela être parent ? Elle doit maintenant apprendre autre chose, et surtout apprendre avec quelqu'un d'autre. Comme c'est attroce pour une mère!

Je serai épouvantablement inquiète, je serai à la sortie de l'école bien avant que la cloche ne sonne, je serai là, tant que je pourrai et tant qu'elle le voudra, pour la reconduire, l'accompagner. Je me sens tellement parano. Comment savoir faire le juste milieu ? Saoir être prudent sans tomber dans l'obsession ? Savoir faire confiance à d'autres qu'à soi, ne pas être rongée d'inquiétude chaque seconde de la journée jusqu'à ce que l'heure d'aller la chercher arrive. Vais-je m'empoisonner la vie et lui empoissoner la sienne. J'ai tellement peur de cela que je ferai tout pour que ca n'arrive pas. Mais jamais je ne survivrais s'il lui arrivait quelque chose.

Tout cela me mène à penser à cette petite Cédrika. Comme c'est injuste, en plus de la maladie, des accidents et des embûches naturelles de la vie, de devoir craindre ces fous qui kidnapent nos enfants ! Comme c'est pervers que de s'attaquer à un enfant. Chaque fois qu'un enfant disparaît j'ai le coeur en larmes pour ses parents, et pour cet enfant qui a été injustement araché à sa vie.

N'y a-t'il pas déjà assez de raisons de se faire des cheveux blancs et du mauvais sang ? Il faut qu'en plus ces malades s'en mêlent !

Aujourd'hui et depuis 1 semaine, mes pensées vont à cette petite fille de 9 ans qui est on ne sait où ! Toutes mes ondes positives pour qu'on la retrouve saine et sauve.

02 août 2007

Presqu'un an plus tard

Il faut croire que parfois dans la vie, pour plusieurs raisons, il est impossible d'avoir l'inspiration, ou encore de trouver le temps pour tenir un blog. Presqu'une année complète dans mettre mon blog à jour.

Il y a tellement de nouveau dans ma vie, il faut bien que je le partage ici. J'aimais bien venir écrire et savoir qu'on me lisait, même si on ne me répondait pas toujours.

Je compte bien reprendre l'écriture, il y a tellement de choses à raconter.

Je reviens bientôt avec un nouveau billet.

06 septembre 2006

Famille brisée

Je suis fille unique, issue d'un mariage heureux, de deux parents merveilleux qui me désiraient et que j'aime du plus profond de mon coeur. Pour plusieurs raisons, mes parents se sont séparés à quelques reprises. La première fois, j'étais à peine âgée de 9 ans. Je me souviens encore avoir cru que mon père m'anbondonnait et qu'il me quittait moi aussi et non pas que ma mère. Cette année là, je rentrais de l'école et devait attendre que ma mère arrive, environ 30 min après moi. La voisine me surveillait, mais si ma mère avait 1 minute de retard, tout de suite j'imaginais qu'elle m'abandonnait elle aussi.

Je me souviens lui avoir demandé un jour ce qui m'arriverait si elle décidait de partir. Pauvre maman, elle a du avoir le coeur en miette. Jamais elle ne m'aurait abandonnée biensur, tout comme mon papa ne s'était pas séparé de moi. Mais dans la tête d'une enfant de 9 ans, c'est bien difficile de faire la nuance.

L'été suivant, mes parents sont revenus ensemble. Quelle joie pour moi. Je me souviens encore de leur annonce, j'étais tellement heureuse. Le rêve de tous les enfants de parents fraîchement séparés est bien sur de les voir s'aimer à nouveau.

Le bonheur dura jusqu'à mes 13 ans, où mon père quitta encore une fois la maison. Cette fois-ci, je l'ai vécu à la manière d'une adolescente, allant chez mon père 1 fin de semaine sur 2. J'avais dans sa nouvelle maison 2 "frères". Mes parents avaient une bonne entente. C'était plus facile pour moi d'ailleurs. 1 an plus tard, ils ont reprit encore et c'était juré de ne plus se séparer. Mais en décembre 1998, au même moment où moi je rencontrais l'amour de ma vie, ma mère et mon père se quittèrent pour la dernière fois.

Malgré tout, je revenais du CEGEP et mes parents discutaient tranquillement à table autour d'un café. Ils allaient au restaurant en amis, au cinéma. Mon père n'avait pas de copine, ma mère était elle aussi célibataire; leur relation d'amitié ne faisait de tort à personne. Au contraire, elle nous faisait du bien à tous.

L'amour entra à nouveau dans la vie de mon père. Une femme très gentille, avec qui il est encore aujourd'hui. La relation qui unissait mes parents s'est alors transformée et je crois que c'est tout à fait normal. Mais il y a un an de ça, quelque chose est venu boulverser la famille toute entière.

Un problème de pension alimentaire non versée, de l'argent réclamé par le gouvernement, un procès entâmé par le gouvernement sur le dos de ma mère. Tout cela faisant en sorte que mon père se mette à détester la détester, croyant qu'elle était l'unique responsable de ce cauchemar qu'il vit depuis l'annonce de cette demande. Il y a beaucoup d'argent en jeu, de l'argent que mon père devra verser au gourvernement et non à ma mère. Mais le juge considère que mon père se devrait re payer une pension alimentaire à mère; cette pension qu'il ne lui a pas payée durant l'année et demi où j'étais à l'école mais où je ne vivais plus chez elle. Pourtant, il y avait une entente écrite de leurs mains, et signée en bonne et due forme. Cela ne vaut rien légalement.

Voilà donc que mon père et ma mère passeront à la cour le 12 septembre prochain, pour une question d'argent... et cela est en train de détruire notre famille.

Non seulement mon père ne veut plus jamais voir ma mère, ni même se trouver au même endroit qu'elle, mais il manque plein de moments familiaux tels que la fête de mes filles, noel, pâques... Depuis, il sombre dans la déprime, se voyant jeté à la rue. Il reçoit des lettres de menaces, qu'il saisiront tout ce qu'il possède s'il refuse de payer.

Voulez vous bien me dire pourquoi le gouvernement s'amuse à détruire des familles. Il a en déjà assez comme ça de l'argent. J'ai peur pour mon père. J'ai peur qu'il se suicide si le verdicte est contre lui. J'ai peur de le perdre, pour ce foutu argent qui mène le monde. J'ai peur qu'il ne me voit pas me marier, qu'il ne soit pas là dans les moments importants de la vie de ses petites filles, peur qu'il fasse une bêtise.

S'il fallait qu'il meurt, je serais anéanti. Je l'aime mon père. Je l'aime très fort. J'ai terriblement peur à ce jour du 12 septembre prochain. Jour où le verdict tombera, jour où dans sa tête il fera le choix de s'enlever la vie ou pas. Il ne vit plus depuis 1 an, il survit. Il survit dans l'espoir de se réveiller, que tout cela soit un cauchemar. Il ne dort plus... impossible qu'il se réveille. Mais au fond, ce n'est que de l'argent. La vie ne vaut t'elle pas celà ?

03 septembre 2006

Samhain

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Lorsque l'hiver se termine, je suis toujours impatiente de voir l'été arriver. Mais lorsque le mois d'août arrive, c'est l'automne que j'ai envie de voir se pointer le bout du nez. Il s'agit là de ma saison préférée. Il me semble en plus que c'est la plus courte, à mon grand désespoir. Tout est plus beau l'automne, les odeurs sont différentes, les couleurs. Je suis particulièrement débordante de joie de vivre durant la saison des récoltes.

L'halloween est aussi ma fête favorite, suivi de très près par Noël. Je suis une vraie enfant! J'adore décorer la maison, acheter les bonbons que l'on donnera aux enfants du voisinage, choisir les costumes de mes filles. J'aime aussi me costumer, le 31 je suis toujours impatiente pour la tournée des maisons.

Lorsque j'étais adolescente, j'étais très très penchée sur l'ésotérisme. Je me rapelle encore les célébrations que l'on faisait pour Samhain mes amies et moi. Nous avions chacune un autel dans nos demeures respectives. Le mien était déguisé en coin "déco-automnale" dans mon salon; j'avais peur que me mère m'interdise d'en inaugurer un. Nous fêtions tous les sabbats, mais celui là était le plus important. Nous en avons fait des célébration dehors, parmis les feuilles tombées des arbres. J'en garde de très bons souvenirs, même si cela peut sembler bien étrange pour certaines personnes. Je crois que mon amour de la saison a d'ailleurs augmenté suite à cette période de ma vie.

Nous nous rejoignions chez l'une ou l'autre et partions avec nos sac à dos, ni vu ni connu. La nuit tombait tranquillement et on se sentait si bien à marcher dans la pénombre, le vent frais sur notre visage. On se sentait marginales et on aimait ça. On s'installait, dans la nuit et attendions que la lune soit bien haute dans le ciel. Nous débutions alors nos incantations. Nous étions 4 et j'avoue qu'à cette époque nous étions plus proches que jamais.

Nous avions des réunions régulièrement chez L (une des 4) où nous parlions de spiritisme et où nous passions la nuit de temps en temps. Nous ne dormions pas, on communiquait avec les esprits. J'adore me remémorer ces moments. Ils font parti de moi, de ce que je suis devenue. J'ai encore ma bibliothèque ésotérique, et j'avais tellement d'encen que je viens tout juste de faire brûler le dernier bâtonnet la semaine dernière. Par contre, cette fois-ci, c'était pour embaûmer l'air et non pour invoquer quelconque désesse.

J'ai longtemps porté le surnom de :" ma sorcière bien aimée" et pourtant physiquement je n'avais pas le physique de l'emploi HAHAHA! J'ai malgré tout conservé un certain penchant pour les côtés occultes. De là à dire que je pratiquerais la sorcellerie comme il y a 10 ans; certe non. Mais je reste très ouverte aux phénomènes dit "paranormaux".

L'automne me rapelle tous ces beaux souvenirs, et plus encore. J'aurai certainement un regain d'inspiration avec la venue de ma saison favorite. J'espère que j'aurai quelques lecteurs !

Confidence

C'est très difficile de recevoir une confidence. Il faut être prèt mentalement à accepter le secret de l'autre, tout en promettant de ne rien dire, de ne jamais en parler à personne. De partager son secret aide l'autre à s'en libéré légèrement. Et bien quelqu'un, la semaine passée, m'a refilé un peu de son poids qui lui pesait sur ses épaules, en me confiant un secret qui m'a, pour le moins, troublé.

Pourtant, cette confidence ne me concerne en rien, outre le fait qu'il implique 3 personnes que je connais et que j'aime très fort. Cette confidence a quelque peu terni l'image que j'avais d'une des personnes impliquées, et cela m'a hanté durant plusieurs jours. J'ai juré de ne rien dire, mais je dois avouer que le lendemain, les lèvres me brûlait. Par amour pour cette personne qui s'est confiée, je ne dirai rien. Mais si cela venait à se savoir ?! Si par la suite cette autre personne qui m'est chère venait à savoir que j'étais au courant et que je me suis tu. Me croira t'elle lorsque je lui dirai que j'étais convaincue que c'était pour son bien. J'en ai des doutes.

Et si je parle, je trahis ma promesse, je blesse quelqu'un, voir même 3 personnes. Comme c'est compliqué.

J'aime être une bonne oreille, j'aime que les gens me fasse confiance, qu'ils se soulagent en se confiant à moi. Mais j'ai l'impression de porter un peu leur fardeau par la suite. J'en ai cauchemardé durant 2 nuits!! Ce n'est pas rien.

Mais malgré tout je garderai le silence. Par contre, cette révélation m'a enlevé l'envie d'être à nouveau une oreille attentive.

30 août 2006

Et ce n'est pas fini...

Il y a quelques temps, j'avais parlé un peu des allergies alimentaires de ma petite fleur des îles. Des allergies que nous avons découvert peu après sa naissance et qui l'on suivi jusqu'à tout récemment. Grace à la diète évictive durant l'allaitement et l'introduction tardive des solides, S s'est débarrassé de la majorité de ses allergies alimentaires. Seule celle aux arachides semble subsister.


Malgré tout, en aucun temp S n'a eu de selles normales. Elle a toujours eu des diarhées interminables. Pourtant, tout aliment problématique avait été exclu de son alimentation et de la mienne. Voilà qu'avec le temps, nous avons conclu qu'il s'agissait là de ses selles normales à elle. Mais il semblerait que nous nous soyions trompés.


Comme le problème ne semblait pas se résoudre et que de nouveaux symptômes surgissent nous avons décidé de demander conseil à la nutritionniste qui nous a suivi tout le long de mon allaitement. Selon les symptômes:


* Sang dans les selles

* Selles flottantes et grasses

* Diarhées

* Selles fibreuses


Son verdicte: Éliminer le gluten et le lactose de son alimentation pour 1 semaine. Elle croit que S souffrirait de la maladie de coeliaque. On souhaite très fort que ce ne soit pas le cas. Cela voudrait dire un changement drastique de nos habitudes alimentaires et acheter que des produits sans gluten ni lactose c'est très dispandieux. Cela voudrait également dire, plus de repas au resto, impossible de manger chez des amis sans apporter son lunch. Vraiment pas évident. Je sais que c'est faisable et qu'il y a des maladies beaucoup plus grave que celle là, mais bon cela ne nous enchante pas dutout.


On commence donc la nouvelle diète pour 1 semaine. S'il y a des améliorations nous serons référés à ste-justine avec un gastro-antérologue. S'il n'y a pas d'amélioration, nous explorerons une nouvelle hypothèse.

Nous en sommes au jour 3, aucune amélioration pour le moment.

À suivre....

23 août 2006

Petite fleur des îles (la suite)

On entre dans la salle, le coeur serré, on retient notre souffle. On nous annonce que notre puce souffre d'une grosse infection urinaire, qu'elle doit être hospitalisée. On ne s'y attendait tellement pas. Tout cela n'avait aucun lien avec la crotte de chat ingurgitée la veille. On lui installe un soluté. OUF! J'ai les larmes aux yeux, de la voir ainsi branchée , si petite, si fragile. On m'annonce aussi que je devrai rester seule avec elle pour la nuit. Comme il n'y a aucune chambre de libre, impossible que les 2 parents soient là. De toute façon, O se fait garder chez ma tante, bien qu'elle y soit parfaitement en sécurité, et traitée aux petits oignons, elle a besoin de son papa.

S et moi s'en allons donc aux soins intensifs, dans une petite pièce destinée aux examens. Ma petite fleur est dans une couchette-civière, j'ai une toilette privée; tout compte fait, c'est pas si mal. Beaucoup mieux qu'un simple corridor avec rideau. La nuit est toutefois très difficile, même si elle ne se réveille pas, parce que trop mal en point, l'infirmière vient souvent la voir, changer son soluté, faire des prises de sang, donner ses antibio par intraveineuse. Le lendemain matin, après 1 tranche de pain grillé sans beurre (pour moi) on nous transfère en attendant d'avoir une place en pédiatrie. S est si épuisée, elle ne se réveille même pas alors qu'on la transporte d'un étage à l'autre. Finalement, un pédiatre vient nous voir, mon amoureux vient tout juste d'arriver, on a bon espoir que l'on puisse partir... mais non. Elle doit être hospitalisée encore quelques jours. Son état pourrait s'agraver vu son rein malade.

Enfin, le lundi après midi, on vient nous chercher pour la pédiatrie. On est mieux installées, elle a une belle couchette où elle peut dormir confortablement. Elle boit bien au sein, et son soluté l'hydrate, mais comme on est encore dans l'intro des solides, elle refuse de manger.
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Le mardi, on nous annonce qu'on doit lui faire passer une échographie. Celle-ci ne révèle rien d'autre que ce que l'on sait déjà; rein système double conducteur à gauche. Mais on apprend plus tard qu'un rein infecté par une infection urinaire peut prendre de 3 à 4 mois avant de laisser paraître une cicatrice. Elle devra donc aller en médecine nucléaire dans 3 ou 4 mois. Elle a aussi un rendez-vous pour une cystologie mictionnelle 1 mois après sa sortie de l'hopital. D'ici là, elle sera sous médication journalière afin de prévenir une autre infection. Le microbe se serait faufilé de la vessie au rein malade et aurait proliféré de bactéries dans ce coin là. Pauvre chatonne, on ne s'en doutait tellement pas en plus.

Dans la journée de mardi, notre belle petit puce est couverte de bouton. On pense à alors a une réaction allergique à un des antibiotiques, mais après quelques tests, semblerait que ce ne soit qu'un RASH viral ou encore simplement du aux trop grosses poussées de fièvre. Elle passe facilement de 38 à 41 c en l'espace de 5 minutes.



Dans la nuit de mardi à mercredi, alors que S s'est endormi au sein, l'infirmière vient pour sa médication. Elle voit que visiblement ma belle puce dort paisiblement. Elle demande si c'est possible de l'aider à lui faire prendre sa médication. Je reste nettement surprise puisque depuis le tout début on lui administre par intraveineuse. Je lui pose alors la question, à savoir pourquoi cette fois-ci c'est pas la bouche.... Après vérification, l'infirmière me demande si elle a affaire à Magalie.. la réponse est non ! Il s'en est fallu de peu pour que ma fille reçoive une médication destinée à une petite fille de 8 ans ! Une médication très forte pour une méningite. Lorsque j'y repense j'en ai encore des frissons. Si je ne l'avais pas questionnée, ma fille serait peut-être décédée d'une erreur médicale.

Après une autre nuit pénible, à ne pas dormir, à entendre son moniteur sonner aux 15 minutes pour cause de bulle d'air dans le soluté, on se lève au petit matin et on attendant le pédiatre. S ne faisait plus de fièvre depuis assez longtemps pour rentrer à la maison. Quel soulagement!

Le 21 mai, c'était le rendez-vous pour la cystologie. Attachée sur la table, tel un saucisson, S hurle de tout son être et voudrait donc être ailleurs. Elle fini par se calmer, bercée par la voix de son papa qui tente de la rassurer tout en lui flatant les cheveux. Cet examen révéla que S souffre d'un reflux au rein droite, que son rein gauche, bien que malformé, fonctionne bien.

On continue la médication... prochaine Rendez-vous, en médecine nucléaire à 14 mois. Le tout révéla qu'aucune cicatrice n'avait été laissé au rein. La médication pour son rein à pu être arrêté lors de ses 18 mois. Depuis, celà va très bien. S a eu 2 ans en juin, elle devra repasser des tests pour voir l'évolution de ses reins.

Elle a aussi du passer une échographie cardiaque pour son souffle au coeur... Je vous en parlerai dans un prochain billet.

Merci de porter autant d'intérêt à ma petite fleur !!!

21 août 2006

Ma petite vache a mal aux pattes




Pour savoir quel film nous écouterons durant la collation, O fait la chanson du hasard.

O: Ma petite vache a mal aux pattes, tirons la par la queue, clic il fait clair vive la lumière"

HAHAHAHA Vraiment trop drôle!!!